"bad tour"

"Ceci est la première et dernière tournée en solo de Michael Jackson !" Frank Di Leo est catégorique, son jeune client sillonne les routes du globe, seul, sans ses frères, mais l'épopée n'aura pas de suite.

Après cette tournée, Michael va se consacrer au cinéma...

Tokyo, 09 septembre 1987 : Michael pose ses valises sur le sol nippon. La "Bad Tour " commence. Les médias du monde entier assistent au rodage du "nouveau" show Jackson.

Le spectacle proposé est une légère variante du "Victory Tour". Par manque de temps, et histoire de commencer les choses en douceur, loin du stress du continent américain, Michael ressert ce set vieux de 3 ans, sans les chansons de Jermaine, remplacées par "Thriller", "I Just Can't Stop Loving You" et "Bad".

Secondé d'une nouvelle équipe devenue mythique (côté danse, on retrouve déjà La Velle Smith, tandis que Jennifer Batten électrise la foule avec sa longue crinière), le Roi de la Pop donne un nouveau souffle à sa carrière : pour la première fois, la tension fraternelle laisse place à un spectacle dirigé de main de maître par l'homme ganté le plus célèbre de la planète !

Le "Bad Tour" dévoile au grand jour un MJ colonisateur de toutes les provinces éventuellement absentes à son palmarès : le Japon tombe sous le charme et aura droit à une seconde visite fin 1988, l'Australie, au début tiède, s'enflamme comme un kangourou jouant au basket. L'objectif de la tournée est simple : propulser "Bad", l'album, le plus haut possible. Il n'est pas question de négliger tout marché susceptible de s'arracher la magique galette blanche et rouge.

Les premiers mois du "Bad Tour" permettent à Michael de prendre confiance et de préparer la suite. Tranquillement, il teste et met au point ses nouvelles tactiques de baroudeur musical. Ses passages dans chaque pays sont scrupuleusement filmés, et plusieurs émissions télé produites par la star elle-même confortent cette image de MJ star universelle, populaire et adulé à Tokyo, Sydney, Rome et Londres.

Le 23 février 1988, à Kansas City, la même ville qui a accueilli le premier show "Victory", Michael Jackson branche son légendaire mur de lumière et aveugle une foule à qui il doit beaucoup : il s'agit de faire oublier l'amer épisode Don King.

Le show est entièrement remanié : Michael évolue dans un marathon de plus de deux heures où les morceaux forts s'enchaînent sans compter. Les titres des Jacksons disparaissent pour la plupart. Avec la fluidité d'un magicien, le jeune trentenaire bouge avec grâce et sa voix, solidement entraînée par Seth Riggs, grand gourou des plus célèbres voix américaines, réalise des prouesses athlétiques.

Le "Bad Tour 88" est une véritable réussite artistique, véritable compromis entre concert Rock et grand show Hollywoodien.

En digne descendant de ses plus illustres idoles (de Jackie Wilson à Fred Astaire, en passant par Chaplin), Michael ne trompe personne, et trempe sa chemise comme seuls les grands savent le faire.

Chaque concert se joue au filet, Michael à la pêche, il en veut, il veut que le "Bad Tour" reste sa plus grande tournée, et ce voeu sera exaucé.

Des invités de marque rendent visite au Bad Guy : à New York, au Madison Square Garden, Steve Stevens dynamise "Dirty Diana" et Tatiana, la bombe du clip de "The way You make Me Feel", dévoile ses jambes et embrasse MJ en direct live sans compromis sur scène !

De mai à septembre 88, les caravanes du "Bad Tour" débarquent sur le vieux continent. La grande scène noire et argentée de Michael se pose dans les plus grands stades européens. La tournée vire à l'événement, les fans qui, pour la plupart, ont découvert Michael à l'époque "Thriller", voient en chair et en os leur idole reproduire les chorégraphies des vidéos qu'ils connaissent par coeur. Devant l'hotel de la star, le ballet "je me cache derrière les rideaux, et vous, vous criez" devient un rituel.

Les dates européennes sont à peine bouclées que Michael retourne aux Etats Unis pour une nouvelle série de concerts. Fin 88, il commence à montrer quelques signes de fatigue : il annule plusieurs représentations, souvent reportées, et le recours au playback se fait de plus en plus sentir (au début de la tournée, "Smooth Criminal" et "Man In The Mirror" sont systématiquement chantées en playback, par la suite, "Bad" et "The Way You make Me Feel" allongent la liste).

Début 89, au Sports Arena de Los Angeles, Michael chante pour une dernière fois chez lui : les traits tirés et maigre comme un clou, il se dépasse une dernière fois.

Alternant grandes salles et stades olympiques, Michael devient le dernier empereur de la scène Pop. A cette époque, nul ne doute de sa suprématie dans le monde du spectacle. Sa longue démonstration scénique lui vaut le respect définitif du public à travers le monde et va faire école parmi une nouvelle générations de vedettes cherchant à l'égaler...

Au délà des records, de l'hystérie et de l'engouement, le "Bad Tour" reste l'oeuvre d'un showman à l'apogée de sa gloire et de sa force artistique : le paroxysme jacksonnien, tout simplement.

LA MEILLEURE TOURNé , LA MEILLEURE TOURNé DE TOUT LES TEMPS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

tout est parfait mike est excellent, energique, joyeux etc.................

pour ma part c est la tourné qu un chanteur comme ELVIS aurai aimer faire comme je dit Elvis en rèver Jackson la fait!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

MJ est extra peu de play back ( voir meme pas du tout parfois, mais sur des chansons comme smooth criminal c est comprehensible)

moi j adore cette tourné

A quand doublement le dvd s il vous plais!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

j'ai pu me rendre compte récemment de l'ampleur de cette "grandiosité" qu'est le bad tour (car on m'a procuré le DVD du concert de Yokohama)
niveau son et voix rien a redire c'est du live a 99%
le seul bémol pour moi les choré sont réduites au strict minimum
a part ça le concert est génial
"peut être que dans le meilleur des cas il aurait fallu faire un mélange entre le bad tour et le dangerous tour " (bad tour chanté en live et dangerous tour pour les choré et les costumes)

oué c est sur mais on ne peut pas faire les deux en meme temps c est pas possible et surtout c est sa la force du bad tour il danse il fait se qu il doit faire comment a tu eu le dvd car il n est jamais sorti publiquement parlant c est le probleme e Crying or Very sad

mais bon tu as celui la de 1987 la premiere parti qui est genial mais en matiere de danse la deuxieme parti est plus proche du dangerous tour enfin le contraire pardon

bah si tu veux je pourrai t'en procuré un beaucoup de fan l'on

LA MEILLEURE TOURNé , LA MEILLEURE TOURNé DE TOUT LES TEMPS!!!!cette tourné de Bad avec ma prestation préféré de Yokohama,merci la malette non officiel de fan les tournée history bad et dangerous complete et TII le 4mars j'atend avec impatience ce foutu nouveau album,je remerci pour les demo du This is IT album avec she's out of my life a la guitare mais encore et encore j'en est besoin !!!!

j'adore cette tournée I love

moi aussi j'adore cette tournée michael est sublime et plein d'énergie il embrase toute la foule ! et ses chorégraphies sont captivantes et d'une grâce inouïe !
cette tournée restera dans les mémoires, paticulièrement de tout ses fans, de tout ceux qui l'apprécient et de ceux qui sont allées le voir .. les chanceux !

les chanceux!!grave,Cette tournée est juste phenomenal,Le Yokohama j'ai 5min de 3d du bonheur en puissance aussi ,Michael a reussi toutes ses tournée mais cette tournée Bad reste sa plus violente reussite en terme de choregraphie,chant,flow,presence,spectacle,du Michael quoi mais version jeune et au sommet de sa gloire aprés Thriller !!

Invité

la meilleure tournée solo de Michael pour moi, c'est du Michael comme j'aime, il ne manque plus qu'un dvd qui j'espere sortira... je commence à en avoir marre des best-of il faut de l'exclu du jamais vu Laughing

A chaque tournée que Michael faisait,il y'avait de la nouveauté et des effets trés impressionnant.

Ouais Moi aussi j'adore cette tournée ! Mais il y a un DVD de la 2ème partie de la tournée ?

il est magnifique